dimanche 5 août 2007

Jour 2

Nous nous réveillons avec la douce brise de la pointe. Ça fait du bien, nous avons eu tellement chaud ces derniers temps. Le lit est confortable, je n'ai pas trop envie de me lever. Hugo pour sa part paresse et fait un vas et viens sur son membre en érection. Je sais qu'il aimerait bien que je le suce. Chaque matin, il attend ça... En fait c'est plutôt rare qu'il n'a pas droit à sa petite gâterie matinale. Je suis encore toute endormie, je préfère le regarder pour le moment. Son corps entier est bandé, je caresse son torse, il a les pectoraux tout durs, les fesses serrées. Il joue avec son glan. Quand je vois la petite goutte de lubrifiant sortir, je m'empresse de prendre ma main et de le remplacer. Avec mon pouce, je fais des ronds sur son glan, j'étends la minuscule goutte. Hugo frissonne, se tortille de plaisir. Je reprends les mouvements de vas et viens avec ma main, quelques petits coups sournois et ensuite des grands coups soutenus et langoureux. Hugo mets son doigt dans mon entre-jambe et fait un mouvement de bas en haut vers l'extérieur du vagin en passant par le clitoris. Je suis mouillée, j'ai envie qu'il me pénètre, mais lui a envie que je le suce. Je cède à son caprice quelques instants pour ensuite le regarder venir à ses fins lui-même. J'aime bien le regarder et je crois qu'il aime bien se masturber devant moi.
Il est un brin exhibitionniste je suppose.

De retour sur la route, nous buvons une boisson énergétique pour se réveiller un peu. Pas de café pour le vacances, il fait beaucoup trop chaud. Nous passons Rimouski, direction Mont-Joli pour prendre la direction de la vallée de la Matapédia. Une fois à Mont-Joli, il nous vient l'idée de faire le tour de la Gaspésie par le haut plutôt que de faire un allez-retour dans la baie des Chaleurs afin de se rendre à Percé. On continu donc notre route sur les berges du St-Laurent. Nous faisons une petite halte à Matane afin de faire quelques courses et de trouver des sandales bon marché pour Hugo. Comme il ne reste plus que des sandales pour géants (pointure 11 en montant), chéri devra se contenter de ses vieilles godasses encore un moment.

En passant par Cap-Chat, nous nous demandons pour quelle raison on a nommé le village de la sorte. Je recherche la montagne en forme de tête de chat. Hugo lui dit en rigolant que c'est peut-être uniquement parce qu'il y a beaucoup de chats. Cinq minutes plus tard, nous voyons un minet noir tranverser tout bonnement la 132. Ça nous fait bien rire.

Un peu plus loin nous apercevons sur la grève un gros rocher. Comme Hugo est amateur d'escalade et de bloc, il arrête la voiture dans l'accottement et nous marchons vers le bloc qui semble relativement petit vu du chemin. Hugo arrive avant moi près du bloc qui est ma fois 2 fois sa hauteur. Yes! Bouldering in Agaspouasie! La roche est très particulière, on dirait une éponge. À quelques endroits elle est friable. "Bon assez grimper le singe, on doit continuer si on veut se trouver un bel endroit pour dormir. Il y a quelques bananes dans la voiture si tu as une fringale." Nous repartons et traversons le village de Grosse Roche, Hugo salive, la roche aussi ça le stimule. Nous remarquons quelques falaises sur la droite mais elles semblent difficiles d'accès pour des gens de passage,

Nous roulons jusqu'à Rivière à Claude, un petit village avant Mont-St-Pierre et nous établissons discrètement notre campement sur la plage. Tout prêt se trouve une vieille chaloupe qui nous servira de table pour la préparation du repas du soir. Comme le site est gratuit et clandestin, il n'y a aucune commodité, ni toilette, ni douche. Le fait est que j'ai une envie intense à satisfaire dans les plus brefs délais. Non ce n'est pas une envie de sexe, ni une envie de me laver, ni une violente envie de pipi, non ... la totale! le numéro 2. Merde! Ça n'aurait pas pu me pogner avant, dans un endroit où il y a plus qu'un commerce au 50 km carrés. J'interpelle Hugo qui fait des ricochets. J'ai besoin de lui pour me couvrir car il y a des vacanciers sur la plage. Il m'en doit une!
La semaine dernière, il a eu des crampes alors que nous marchions dans une rivière. J'ai tout vu, tout entendu, c'était d'une écoeuranterie des plus extrèmes, un numéro 2 consistance numéro 1, couleur pourpre! Mais j'ai vite oublié l'affreux évenement quand il s'est mis à pleuvoir et que j'ai vu mon pauvre Hugo tout nu comme un vers, trempé en lavette, il semblait si vulnérable avec ses cheveux dégoulinants. Pour revenir à nos moutons, j'ai réglé mon problème d'une façon beaucoup plus discrete et j'ai instinctivement enterré le tout à la manière d'un chat. Je regrette encore d'avoir acheté des pruneaux à Matane. Je pense qu'en matières de fibres et de déconstipant, il n'y a rien de plus efficace.

Après souper, nous allons nous promener sur les rochers vers l'ouest afin de voir le couché du soleil. Le paysage est magnifique et enchanteur. Je me sens enfin en vacances. Je ne cesse de questionner Hugo pour savoir s'il ressent la même chose, mais je le bombarde tellement de questions que ça doit le fatiguer un peu. Il devra prendre d'autres vacances ensuite pour se reposer de moi, quoique j'ai quelques tours dans mon sac qui compensent et qui le détendent beaucoup plus.
Nous marchons encore un peu. Le crépuscule approche, les couleurs du ciel et de la mer sont sublimes, des teintes roses et orangées nous donnent espoir d'une belle journée pour le lendemain. Nous nous installons sur un amas de roche en bordure de la plage. Total confort, Hugo trouve un rocher type lazyboy 2 places. Il y a même un trou dans la roche pour y déposer sa Corona. Nous savourons l'instant présent ainsi que les derniers rayons de soleil qui chauffent agréablement notre peau. Je vois une bosse dans son bermuda, j'aventure tranquillement ma main pour vérifier la qualité de cette érection. Les bermudas de toile facilitent l'accès. Je prends donc sa verge et m'apprète à y approcher ma bouche. Hugo me repousse en disant que nous pourrions être aperçus. Je hausse les épaules alors qu'il parcourt des yeux les environs. Il soupire et me prends par la nuque afin que je poursuive avec mon idée initiale. Il ferme les yeux, il est beaucoup plus détendu maintenant. J'embrasse ses testicules, les aspire délicatement dans ma bouche. Sa peau est douce, il a fait une coupe à blanc pour les vacances. Je remonte délicatement en bécottant son sexe, en mordillant du bout des dents son frein. Il a un spasme de plaisir. Je me retire quelques secondes afin d'acheter mes longs cheveux ébourriffés. Il me sourit et m'attire à nouveau vers lui et m'embrasse. Il tente de sortir un sein de ma camisole mais je l'arrête aussitôt et enfonce son glan très loin dans ma gorge. Je remonte vers le glan quelques instants et recommence. Chaque fois que j'enfonce sa queue profondément dans ma gorge, je sens un nouvel afflut de sang. Il est maintenant très dur, je ne l'ai jamais vu aussi gonflé. Il éjacule dans ma bouche. Je retiens sa semence dans mes joues quelques instants, en poursuivant un léger mouvement de vas et viens avec ma bouche. Une fois qu'il a tiré son dernier soupir, je me dirige vers la mer pour y cracher le sperme. Quand je retourne voir Hugo, il rigole en disant qu'il est bien heureux qu'avoir versé sa semence dans les eaux du St-Laurent. Qui sait un poisson s'en servira peut-être comme crème hydratante! Yeah right!

mercredi 1 août 2007

Jour 1

Mardi midi, enfin les vacances! Comme mon copain et moi avions été très occupés, aucun préparatif de vacances et aucune commission n'avaient été entamés. Donc nous n'étions pas partis de si tôt, mais pas de stress, nous sommes en vacances!! Donc c'est un départ vers les commissions, Hugo et moi devions aller au magasin de vélo Demers à Limoilou. Moi pour vendre mon vieux Gary Fisher Tassajara et Hugo pour ajuster le pédalier de son nouveau De Vinci hybride performance. Ensuite, direction Canadian Tire pour se procurer un bidule pour l'auto pour recharger toute la technologie nécessaire à notre voyage: ipod, ordinateur, cellulaire, caméra numérique, la mienne et la sienne), mini réfrigérateur... bref tout l'attirail, pour pour se ressourcer en nature. Maintenant, direction Montain Equip. Coop, questions d'acheter les cossins de camping manquants. Mine de rien notre virée a comme à l'accoutumée durer plus longtemps que prévu, Hugo a yeuté les articles d'escalade, moi les vêtements. Bon allez, c'est le temps d'aller à la maison faire les valises et pacter la voiture.
On a une grande Subaru legacy Outback, donc on a de l'espace, youppi!

Nous retournons à la maison. Non mais c'est bien fatiguant toutes ces commissions, j'ai bien le droit à une partie de zuma avant de commencer les bagages. Hugo accepte à condition que lui aussi en joue une ensuite. Hugo a chaud et il se déshabille, ça me fait rire de le voir se promener et préparer le matériel de camping en tenue d'Adam, surtout qu'il est presque constamment en érection. Il passe me déconcenter en agitant sa verge sur mon avant-bras. Je le sais il essaie de m'allumer et ensuite il repartira à ses occupations, évidemment je perds une de la douceur de ma bouche, il se remet rapidement au boulot. Je termine ma partie et voila que l'homme nu s'installe à son tour pour une partie.

Donc, je m'y mets: une bonne douzaine de paire de bobettes, des bas, camisoles, brassières, pantalons, pantacourts... Je remplis le sac à dos et soudain je me fais prendre par en arrière,
tâter un peu les seins. Hugo aime bien me pincer les mamelons afin de voir s'ils sont bien durs, comme il les aime. S'ils ne le sont pas, il les mordille et les lèche jusqu'à ce qu'ils
le deviennent. Hugo me pénètre d'un coup. Je résiste en disant qu'il fait chaud et que j'aimerais bien prendre une douche. Rien à faire, il rétorque qu'on prendra notre douche après. J'aime bien quand il me surprend et qu'il prend l'initiative, mais il fait toujours ça quand
j'suis occupée, mais bon on ne peut pas tout avoir. Le rythme est bon, ferme et soutenu. Je sens que sa pulsion est forte et qu'il éjaculera trop rapidement si on ne change pas de position. Je m'étends donc sur le lit qui est juste à côté afin que nous adoptions une
une position un peu plus classique. Hugo est maintenant plus doux, il m'embrasse tendrement et sa cadence est rallentie. Mais je crois qu'il en est déja au point de non retour, "ça sera pour une prochaine fois pour toi ma belle", et voilà, il vient. J'avoue que même si je n'ai pas eu d'orgasme, c'est quand même un bon début de vacances. Nous nous douchons, finissons les préparatifs et enfin nous prenons la route. Nous avons l'intention de nous rendre au bic pour camper et d'arrêter manger et mettre de l'essence à Montmagny. Arrivés à Montmagny, le choix gastronomique est mince, à l'intersection, McDo ou Normandin. Je laisse trancher Hugo, car sinon il me fera la gueule. Il choisit donc le Normandin car je crois qu'il est en overdose de McDonald. Il est 19h00, C'est un peu le rush au restaurant, nous attendons quelques minutes avant qu'on nous assigne une place, mais rien
d'allarmant. Une fois assis, Monique la gentille serveuse nous laisse poirotter plus de 25 minutes avant de prendre notre commande et de nous apporter un verre d'eau. J'ai eu le temps de changer d'idée trois fois, combo ou spaghetthi pizza ou panini ou lanières de poulet. Afin de tuer le temps, je fais des tests de macro sur un 2$. Je photographie Hugo en noir et blanc ,Hugo qui sourit, Hugo qui tient son menu. Bon ras-le-bol des photos, l'outil par excellence pour tuer le temps dans un restaurant familial: les crayons de cire!! Quelques parties de bonhomme pendu devraient nous faire oublier notre impatience et nous amuser un peu en attendant nos assiettes. Une fois les 2 napperons couverts, nous consultons l'heure et réalisons que ça fait 1h15 que nous sommes entrés. J'offre à Hugo de partir, il hésite un peu, je me lève, il me suit. Il y a toujours ben des limites, nous ne sommes toujours ben juste au Normandin, j'ai commandé un spag et Hugo un sandwich. Une fois dans l'auto nous voyons la serveuse arrivée avec nos assiettes, ce fut une délicieuse sensation pour nous de la voir avec son air idiot nous chercher et se demander si elle était bien à la bonne table.
Pour notre part, 15 minutes plus tard, nous avons englouti un bn mcdo, mis de l'essence et nous voila sur la route. Haleluiah!

Environ vis a vis La Pocatière, Hugo s'exclame: Chérie j'ai une érection! Décidément les vacances l'excitent! Je vérifie l'intensité de cette érection. MMM, ça m'intéresse. Je me pencherais bien pour le déguster un peu, le caresser de ma langue, mais je me retiens en me disant que ça sera meilleur plus tard et qu'un accident dans le bas du fleuve à la premiere journée de nos vacances, ce serait un peu ordinaire.

Comme il se fait tard, nous décidons de se louer une chambre à Rivière-du-Loup à l'Auberge de la Pointe. Nous jouons à Zuma, buvons quelques bières, discutons et regardons un film trois x téléchargé sur le net. Le film étant en Espagnol, nous avons de la difficulté à capter l'essence réelle du film, surtout que nous sautons les passages sans intéret.
Finalement, le film entier s'avère sans intéret, donc nous arrêtons le film en se disant que ça tue la libido ces trucs-là. Pas besoin de ça pour se stimuler. Il me carasse donc doucement le ventre en montant vers les seins tout en m'embrassant dans le cou. J'ai un frisson et je roule sur lui en l'embrassant passionnément de ma bouche humide. J'ai envie de lui, comme je suis restée sur mon appétit pendant l'PM. Je déplace donc ma petite culotte ( ça m'a toujours excitée c'est comme c'était interdit ) afin que son sexe bien dur s'y enfonce profondément. Je prends ses poignets et les pousse contre l'oreiller, et quand je vois son air satisfait de dominé heureux, j'atteins vite mon plaisir, le laissant bredouille (lol brecouille) à son tour, bredouille mais tout de même heureux de m'avoir enfin vue jouir. Je me sens détendue, je m'ouvre une bière, une richards white. ça se boit.. tout seul. Je vais prendre une douche et enfile une
petite tenue de nuit. Il fait chaud dans la chambre, je m'allonge sur le lit, par dessus les couvertures et je joue une partie de zuma sur le portable. Hugo lui s'amuse avec la lampe frontale qu'il m'a offert pour mon anniversaire. Il semble bien apprécier sa bière aussi. Il vient s'allonger dernière moi et regarde ma partie de zuma, quand tout d'un coup il s'apercoit que je n'ai pas mis de petite culotte. Je suis allongée sur le ventre et il passe son doigt entre mes lèvres encore humides de la douche. Il effleure mon clitoris surnoisement. Il aime bien m'agacer comme ça. Je sens mon désir qui revient, je me tortille, je commence à mouiller et l'encourager à entrer son doigt dans mon vagin. J'ai une telle envie de pénétration que je délaisse mon jeu et me mets à 4 pattes. Il prend son pénis dans sa main et le frappe contre mes fesses.Il me pènétre par derriere. Il me tâte l'anus de son doigt, c'est tres excitant. Il mouille son doigt à plusieurs reprises pour me lubrifier. Ça semble l'exciter autant que moi
car je l'entends gémir, lui qui normalement est silencieux. Il enfonce son pouce doucement et il jouit instantanément, je crois qu'il s'est surpris lui-même. Je l'envis, il a encore atteint l'orgasme sans moi. Je suis encore très excitée, je me caresse un peu avec Hugo tout prêt qui me caresse les seins, je raidis, je pousse un soupir. Nous nous endormons. Il doit être 1h00 du matin.